cj-en vadrouille juillet 11, 2019Cette deuxième partie de notre road trip Namibie se déroule dans le désert du Namib. Si vous n’avez pas peur du sable, la Namibie vous offre le plus beau des spectacles. C’est le pays des animaux, des rencontres étonnantes, des peuples premiers et la nature est omniprésente. Après le Kalahari, et Fish River Canyon, nous partons dans le Namib Nukluft.
La première partie de notre itinéraire s’est déroulée dans le désert du Kalahari et nous avons roulé jusqu’à Fish River Canyon pour admirer le deuxième plus grand canyon au monde. Nous avons été subjugués par les paysages ocres orangés du Kalahari et l’aspect grandiose du canyon de la rivière Fish. Nous avons vécu une rencontre émouvante avec les Sans, les descendants du plus vieux peuple au monde.
L’ itinéraire de notre road trip Namibie nous conduit, maintenant, dans la région d’ Aus, petite ville historique proche de l’océan atlantique. Blottie au milieu des montagnes et des plaines de sable, l’endroit a un charme fou. Son histoire parle de nous, les européens. En effet, souvent, les guerres s’exportent loin du lieu du conflit d’origine. L’ex Afrique de l’ouest a été impliquée dans la première guerre mondiale.
Au programme : dans la plaine du Garub, nous verrons les chevaux sauvages du Namib. Nous continuerons jusqu’à Luderitz, petit port de l’océan atlantique qui a connu son heure de gloire quand la ville minière de Kolmanshop exploitait les diamants …. La ligne de chemin de fer commencée par les allemands et continuée par les Sud Africains est omniprésente dans le paysage. Celle ci confère à la région un petit côté Far West. Ici, pas de ruée vers l’or mais vers les diamants, ne raconte t’on pas que les cailloux tant convoités se ramassaient sur la plage …. Plus loin, vraiment plus loin, le Namib Rand Nature Reserve nous attend pour faire un tour ailleurs, sur une autre planète.
Sommaire
Road trip Namibie: dans le Namib Nukluft, le plus grand parc de jeux de l’Afrique
C’est maintenant le plus vieux désert du monde qui nous attend avec le désert du Namib et ses merveilles. La Namibie est LE pays des diamants. Tout au sud se trouve
« le Sperrgebiet », un no man’s land consacré jadis à l’exploitation du diamant. Il est situé entre la route Aus-Lüderitz d’un côté, et le fleuve Orange de l’autre. Toute la zone est interdite, y compris la ville d’ Oranjemund. Aujourd’hui, l’essentiel de la production se fait en mer, en aspirant le sable. Si vous voulez en savoir plus sur l’exploitation des diamants en Namibie, vous pouvez lire ici l’article : « pas de diamants de sang en Namibie «
Road trip Namibie : un tour dans le Far West Africain
6ème jour – 26 mars – de Fish River Canyon à Aus/ Luderitz- 284 kms –
3 heures 30 de route
Nous quittons donc Fish River Canyon. Notre destination du jour est Aus à 130 kilomètres de l’océan atlantique. Nous sortons du parc et reprenons la piste en direction de Keetmanshoop. Nous sommes vraiment seuls au monde sur l’ancienne piste. Elle est très mauvaise, défoncée par les pluies récentes et par la présence de la tôle ondulée. Seul élément de stabilité : la voie ferrée. Aucune habitation à l’horizon, et pas de restauration possible, pique-nique de rigueur. En approchant d’Aus il est recommandé de faire attention au vent.
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Les chevaux sauvages d’Aus ou l’Allemagne en Afrique
En 1882 les colons allemands prennent la place des portugais pour y implanter un comptoir. Malgré un environnement globalement hostile, aux conditions climatiques terribles (très chaud en été et très froid en hiver), la situation est idéale à Aus car il y a l’eau nécessaire à l’agriculture.
Les allemands instaurent très tôt la ségrégation et relègue les populations indigènes dans des réserves.
En 1906, ils créent la ligne de chemin de fer.
Le 14 avril 1908 est trouvé le 1er diamant le long de la ligne de chemin de fer à Kolmanskoop.
Après la défaite de l’Allemagne, lors de la première guerre mondiale, à Aus, un camp de prisonniers allemands est érigé.
En 1920, la Société des Nations (ancêtre de l’ONU) va lui retirer ses colonies et instaurer un protectorat Sud-Africain. L’Afrique du sud prolongera l’apartheid.
Le 21 mars 1990, les Sud Africains, donneront l’indépendance à la Namibie .
Aujourd’hui, la petite ville attire les touristes grâce à son environnement magnifique fait de montagnes et d’une plaine des sables. La région est célèbre pour ses chevaux sauvages dans la plaine du Garub et dont l’origine est incertaine. Certains prétendent qu’ils ont été libérés par l’armée allemande lors de sa déroute en 1915.
La région est dramatiquement touchée par la sécheresse depuis trois ans. Le propriétaire du Lodge nous a confié avoir perdu son potager cette année. Il est désormais contraint d’importer les produits frais. Il n’y a plus assez d’herbe pour le troupeau. Même le beurre qui était auparavant produit dans la région vient d’ailleurs. Signe inquiétant, les deux Oryx que l’on peut voir près de l’enclos, se sont rapprochés pour trouver de la nourriture.
Hébergement : Le Lodge Klein Aus-Vista est un point de départ de treks. Nous avons emprunté le sentier pour admirer le coucher du soleil sur la plaine des sables.
7ème jour – 27 mars – visite de Kolmanshop et de Lüderitz
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Kolmanshop : les diamants ne sont pas toujours éternels
En chemin vers la ville minière fantôme, nous apercevons les chevaux sauvages. La route est par endroit envahie de sable ainsi que la voie ferrée. Nous avons un rendez-vous espéré avec le train namibien …. qui ne passera pas encore cette fois ci non plus. Cette voie ferrée et son train fantôme est un mystère qui nous amuse beaucoup.
L’ancienne cité minière de Kolmanskop Ghost Town est désormais envahie par le sable. Quelques passionnés ont restauré l’ancien bar à champagne et l’immense salle de bal et font visiter les lieux en contant son histoire. La mine de diamants est désaffectée. Nous suivons la visite en anglais qui dure 40 minutes et qui raconte la vie quotidienne dans le camp au temps de son exploitation.
A Kolmanskop, jusqu’en 1950 il y eut jusqu’à 300 blancs avec leur famille et plus de de 800 ouvriers noirs qui fouillaient la terre. En 1950 le cours du diamant s’effondra et tous abandonnèrent le lieu, laissant le sable blanc envahir l’école, la boucherie et l’hôpital. Le désert ne demandait qu’une chose, reprendre ses droits. Les seuls habitants sont désormais les serpents et les scorpions. Je vous rassure, nous n’en avons vu aucun. La visite en anglais est payante. Il y a une boutique et un petit snack.
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Lüderitz, la Bavière namibienne
Nous partons ensuite pour Lüderitz, ville au bord de l’océan. Elle n’est pas sur l’itinéraire de notre road trip Namibie mais il nous a paru intéressant de faire le détour. Les rues de la ville sont en terre battue. Cette cité portuaire fondée en 1883 par Adolf Lüderitz, un marchand brêmois, compte 13 000 habitants. L’occupation allemande n’a duré que 32 ans et s’est arrêtée en 1915.
A cette époque, Lüderitz comptait 20 000 personnes d’origine germanique. Militaires et fonctionnaires furent renvoyés en Allemagne par les Britanniques. Les colons restèrent sur place et continuèrent à mener leur vie à l’identique et Lüderitz semble aujourd’hui restée à l’identique comme figée.
Il y a quelques belles maisons d’hôtes mais l’offre d’hébergement est très limitée.
Nous déjeunons au restaurant Essenzeit d’un plat de poisson roboratif et filons ensuite vers la pointe de Diaz où nous pouvons admirer au passage quelques flamands roses. La région est souvent prise par la brume mais ce jour-là la visibilité est bonne.
8ème jour – 28 mars – en route pour le Namib et Désert Camp à Sestriem – 360 kms de piste – 5 heures.
Le trajet peut sembler long. Cinq heures sur la piste, ce n’est pas facile. Mais la route fait partie du voyage et le paysage nous offre tellement de merveilles comme par exemple ces nids de républicains sociaux (passereaux). Ces nids peuvent peser jusqu’à 900 kgs et abriter 500 individus.
Nous traversons les Khomas Hochland avec des cols. Il s’agit d’une zone semi-aride avec alternance de moyens massifs, de cailloux, de sable avec des arbres et arbustes résistants et quelques oasis. Nous croisons des troupeaux domestiques mais aussi des Oryx, des Autruches et des Antilopes. Le paysage qui défile est composé de zones immenses clôturées de part et d’autre afin d’empêcher les animaux de sortir ou d’entrer.
La halte pour déjeuner au Helmeringhausen hotel & guestfarm est bienvenue. Au menu : sandwich et le meilleur « Apple cake » du monde.
Après le déjeuner, 200 kms de piste nous attendent encore. Nous rencontrons quelques fermes d’élevage de bœufs et moutons et puis aussi du sable rouge plus aride avec quelques arbres à carquois.
Sesriem est maintenant à 180 kms et je fais des relevés de paysages :
- A 153 kms la piste devient plus difficile (tôle ondulée) et le désert se fait plus minéral
- A 148 kms nous apercevons au loin des dunes de sable avec en arrière-plan la montagne. Il y a encore un peu de végétation
- A 122 kms nous arrivons sur le territoire de Sesriem
- A 117 kms le semi-aride devient vraiment aride.
Et après un passage dans la montagne nous arrivons au Namib Rand Nature Reserve.
Près de l’entrée du parc, il y a une station essence, un petit supermarché et, comme partout dans le pays, un camping. Et, où que vous soyez, ces incomparables couchers de soleil africains.
Après notre installation au Desert Camp, nous allons prendre un dîner somptueux au Sossusvlei Lodge.
Hébergement : Nous passons la nuit au célèbre Desert Camp pour être au plus proche de l’entrée du parc. Demain, il faut se lever tôt. La nuit sera particulièrement chaude.
Le Namib Rand Nature Reserve : un tour au paradis
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Sur une autre planète : Sesriem et Sossusvlei
9ème jour – 29 mars – les dunes de Sesriem/ Sossusvlei au départ de Desert Camp
Le Namib est un incroyable désert avec des dunes ocres à l’infini. C’est le plus vieux désert du monde. Il s’agit d’une bande côtière large de 80 à 160 kms qui longe l’océan Atlantique
sur 1 500 kms. Il est traversé par des cours d’eau éphémères comme la rivière Khuiseb.
Nous logeons juste à côté de l’entrée du site car la route est longue pour atteindre Deadvlei et les plus hautes dunes (Elim est juste à l’entrée du site). Vous ferez votre choix en fonction de votre âge et de votre condition physique pour l’organisation de la journée ainsi que la période de l’année car pendant la haute saison, il y a une longue file d’attente pour entrer.
Certains conseillent de partir pour visiter le site au lever du soleil pour voir le soleil se lever sur les dunes et d’autres précisent qu’à ce moment là les dunes sont plutôt dans l’ombre. Le site est normalement ouvert du lever au coucher du soleil avec un accès une heure avant et une heure après.
En ce qui nous concerne nous avons choisi la voie du milieu parce que :
- nous sommes hors saison et qu’il n’y a pas trop de monde,
- nous n’avons pas l’intention de monter sur les plus hautes dunes, il s’agit d’une montée très difficile dans le sable glissant, sur une hauteur de 300 mètres,
- nous ne faisons pas une compétition,
- nous allons nous contenter de faire le trek jusqu’à la forêt des arbres morts.
Le réveil sonne à 5h30 après une nuit brûlante malgré la climatisation. Nous prenons notre petit déjeuner au Sossusvlei lodge où nous verrons le lever du soleil et croyez moi c’est déjà un spectacle extraordinaire en soi.
Nous entrons sur le site à 7 heures (entrée payante pour toute la journée). C’est le petit matin, le vol des deux montgolfières en bordure de la zone ajoute de la poésie au spectacle des dunes. Ici le fer contenu dans le sable s’oxyde (rouille) et les dunes prennent un ton ocre.
Il faut compter une heure pour faire 60 kms et pour atteindre la zone où nous devons obligatoirement nous mettre en 4X4.
Nous nous dirigeons vers Deadvlei (Vlei : marais – dead : mort – donc le marais mort) C’est l’endroit de tous les superlatifs : extraordinaire, merveilleux, grandiose, magique, et surtout … inoubliable. Le but est d’y arriver pour faire l’aller et retour avant 10 heures du matin, heure acceptable pour supporter le soleil. L’accès à l’ancien lit de la rivière se fait dans le sable. C’est accessible au plus grand nombre. Il faut compter une heure aller et retour.
L’endroit a beau être un des plus photographiés au monde, notre émerveillement est total. Nous découvrons une plaine argileuse blanche ponctuée du brun des arbres morts au milieu d’un cirque de sable et de dunes ocres. Madame Nature, encore une fois, vous nous bluffez !!
Nous sommes sur une autre planète. Imaginez une ancienne rivière qui coulait à cet endroit avec des arbres de part et d’autre. Et comme rien n’arrête les dunes, celles ci ont envahi et recouvert la rivière. Le climat très sec a protégé les arbres et puis les dunes s’en sont allées, en laissant la place à ce paysage à nul autre pareil au monde.
La dune Elim est située à 5 kms de l’entrée du parc, la dune 45 se trouve à 45 kms. Big Daddy à côté de Sossusvlei culmine à 325 mètres. Big Mama est un peu plus petite.
Pour les escalader, le mieux est de le faire au lever du soleil pour éviter de cuire.
Sur le chemin du retour, nous vivons un petit moment de suspense : notre voiture s’est enlisée. Nous ne nous entêtons pas. Nous sommes prêts à sortir la pelle quand un chauffeur du parc vient à notre secours et sort notre voiture du sable.
Après le lunch au Lodge, nous rentrons à nouveau sur le site pour voir le Sesriem Canyon. Sesriem signifie « six longueurs de cordes » car il fallait une corde avec 6 noeuds (soit 1,852 mètre X 6) pour remonter de l’eau du fond du canyon.
Après le repas, nous partons pour Moon Mountain Lodge. Le hasard a merveilleusement fait les choses : la deuxième nuit à Desert Camp n’était pas possible, il nous a donc fallu trouver un autre lodge sur notre route vers Swakopmund.
L’accès au lodge se fait par un chemin escarpé à flanc de montagne. Seuls les 4×4 peuvent monter. C’est un moment impressionnant. Si vous n’avez pas de 4X4, on vient vous chercher et vous laissez votre voiture en bas.
Le lodge est composé d’un village de (fausses) tentes bien ventilées.
Après un bon repas, (je suis heureuse de retrouver la petite courge Gemsquash) nous passerons une nuit rafraichissante grâce au vent de la montagne. Nous aurons même droit à un petit orage avec de la pluie en prime, une bénédiction pour la région. La fin de nuit se passera même sous la couette.
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Solitaire, le Bagdad Café de la Namibie
10ème jour – 30 mars – départ pour Swakopmund en passant par Solitaire – 334 kms – 4 heures.
Le ciel est gris. Il pleut un peu, juste pour nous rappeler que nous sommes à la fin de la saison des pluies. La couche nuageuse fait baisser un peu la température.
Nous empruntons la piste sur la route de Solitaire dans les Khomas Hochland . J’ai adoré cette halte à Solitaire avec son ambiance « Bagdad Café » des années 1960. Ici vous êtes au milieu de nulle part et en même temps cet endroit est un point stratégique d’approvisionnement pour les locaux, les routards et touristes de tous poils .
Vous trouvez une station essence, ce qui a son utilité et la succulente boulangerie Mac Gregor’s Bakery. Cette petite localité se trouve à la jonction entre les routes C14 (Walvis Bay – Bethanie), et C24 (Rehoboth – Sossusvlei). Ces deux routes sont toutes les deux, des routes touristiques importantes de la traversée du Parc national de Namib-Naukluft.
Nous y croisons toutes sortes de gens, comme ce couple de baroudeurs allemands qui fait le tour de l’Afrique dans son véhicule aménagé. Celui-ci a été mis au bateau et eux ont pris l’avion.
Nous traversons le bassin de la rivière éphémère Khuiseb. Ici, il pleut 100 à 150 mm par an. Et malgré ce peu d’eau, nous assistons à une alternance de plaines semi-arides jaunes couvertes de graminées et de zone arides de sable rouge.
Arrêt charmant et roboratif pour le déjeuner au Rostock Ritz qui se trouve en plein milieu du désert, dans un endroit complètement improbable. C’est cela le charme de la Namibie
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La Gaub Pass, un trajet épique dans le désert
Attention, dans le Gaub Pass et le Khuisseb Pass, la piste est dangereuse. Il faut IMPERATIVEMENT rouler doucement et bien à gauche. .
Au fur et à mesure que nous avançons la zone devient plus aride. Nous sommes dans la plaine de graviers du Namib. Nous croisons des Oryx, des Zèbres, un Chacal. Nous repassons le tropique du Capricorne. Au Gaub pass, nous nous souvenons qu’ici coulait une rivière.
Nous arrivons après une piste difficile (gravel road and sand) à Khuisseb Canyon. Une « gravel road » est une piste faite de graviers. Ici, la piste est faite d’un mélange de graviers et de sable.
Le passage de la rivière Khuiseb a façonné le paysage en monticules. Passé le panneau district de Swakopmund, nous récupérons une route asphaltée pour quelques centaines de mètres. Plus loin, nous nous arrêtons aux deux points de vue : Gramadula view et au Kuisseb Pass. Sous le pont une bande de singe nous accueille de fort mauvaise grâce. C’est fou, ce que les babouins sont râleurs !
Une petite pluie fine nous accompagne sur le plateau. Nous approchons des deux grandes villes de la région construites sur du sable : Walwis Bay et Swapkopmund qui sont distantes l’une de l’autre de 10 kms. La première est anglaise et la seconde plus allemande qu’allemande.
A l’approche de Walwis Bay nous prenons un vent de sable. La ville est industrielle et riche. Swapkopmund est la ville touristique.
crédit photos ©des roulettes sous les pieds
Nous venons d’atteindre le bord de l’océan atlantique. Un peu de fraîcheur est bienvenue. Nous croisons quelques véhicules transportant de longues cannes à pêche. Vous l’aurez compris, ici, le sport c’est la pêche. Demain, nous avons prévu une excursion dans les dunes « rugissantes » de Sandwich Harbour. Je vous laisse là et vous retrouve bientôt pour la troisième partie de notre road trip Namibie. See you later.
- Si vous ne l’avez pas encore fait, c’est le moment de sortir vos sacs poubelles pour emballer vos valises ou vos sacs.
- Roulez lentement entre Aus et Kolmanshop, il peut y avoir un vent violent.
- Renseignez vous à l’accueil du parc de Sesriem pour connaitre les horaires d’ouverture.
- Les vols en Montgolfières longent le parc et ne vont pas au dessus des dunes pour des raisons de sécurité.
- L’arrêt à Solitaire, à mon sens, est INCONTOURNABLE !
- Attention à la piste du Gaub Pass, elle est très difficile à Khuisseb Canyon.
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Les photos et vidéos sont magnifiques, quel dépaysement et quelle aventure. Les paysages de Deadvlei sont magiques et les nids de passereaux… c’est incroyable. Merci pour ce partage et ce voyage
Effectivement les nids des passereaux sont incroyables. Parfois, ils sont tellement lourds que les branches des arbres cassent . Quand à Deadvlei, c’était vraiment magique. Je ne regrette pas cette marche sous un soleil de plomb. Merci pour ton commentaire.
Je rêve de voir les paysages d’un désert en vrai, c’est tellement beau ! Merci pour cet article totalement dépaysant 🙂
Claire
http://www.simplementclaire.fr
Je suis contente de découvrir la suite de ton road trip. Les photos sont toujours aussi belles
Merci beaucoup pour ton commentaire. A bientôt pour l’épisode 3 au bord de l’océan atlantique.
C’est magnifique ! Les paysages ont l’air tellement incroyables que cela ne m’étonne pas que vous vous soyez crus sur une autre planète 🙂
Merci . A bientôt.
Quel beau voyage ! J’ai adoré ton article ! Merci de nous faire voyager 🙂
Je ne savais pas que ça pouvait être aussi beau ! Je ne sais pas si j’aurais le courage avec tout ce sable, cette chaleur, ces moments en voiture, mais ça donne envie d’y aller ! J’ai un coup de coeur pour la Deadvalei (excuse moi si c’est mal écrit), ça a l’air tellement incroyable !
Ce pays est incroyable, les conditions sont assez « sportives » pour visiter mais …nous y sommes bien arrivés, alors une jeune femme comme toi n’aura aucun souci. 😉
Magnifique récit de voyage….et merci de me faire revivre notre road trip trip du mois d’avril dernier….pas exactement le même car nous n’avions que 15 jours sur place….mais un pays magique….on y retournera c’est sûr….que de beaux et merveilleux souvenirs 💞💞💞
Merci pour votre commentaire. Nous y retournons nous aussi . 💕