En cette période de confinement vous cherchez des recettes de cuisine saine et gourmande ? Les cinq blogueuses qui ont participé à cet article ont pensé à vous !
Nous vivons vraiment une époque incroyable. Début 2020, qui aurait cru que 3 mois après, la France et le Monde se retrouveraient en mode confinement à cause d’une Pandémie ? Brusquement, notre vie s’est retrouvée comme suspendue à un souffle, celui malsain d’un virus, le Covid19. Les français ont été priés de rester chez eux avec leurs enfants. Le personnel soignant a du faire face à un afflux sans précédent de malades.
Pour sortir de cette sidération et faire face à une situation inédite, certains se sont mis à faire du sport devant leur télévision, de la couture, des travaux manuels et d’autres de la cuisine !!
Les français se sont donc (re)mis à la cuisine, certains par goût, d’autres par obligation. Nous le savions mais nous avons pu le vérifier, la gourmandise n’est pas qu’un vilain défaut. Réjouir son palais, c’est aussi chouchouter son moral. Et puis, il faut bien nourrir les troupes en l’absence de cantine et de restaurant.
Nous avons donc ressorti nos casseroles, pour certains dévalisés les supermarchés en farine et en œufs. Les crêpes sont devenues les stars du confinement ! A ce rythme là, bientôt, nous allions nous fâcher avec la balance. Quid de ces maillots de bain que nous espérions bien pouvoir quand même ressortir cet été. Il y avait donc urgence : manger bon, sain et plus léger ! Les recherches sur le net se sont alors orientées vers des recettes de cuisine saine et gourmande.
J’ai donc eu l’idée d’ouvrir mon blog « des roulettes sous les pieds » à d’autres blogueur(e)s dans la section « cuisine et traditions« , tout d’abord par curiosité pour savoir ce que les autres faisaient et aussi comme dit une amie « histoire de faire rimer confinement et joie du palais » !!
J’ai fait appel à mon réseau, mis des annonces sur mes groupes Facebook. J’aurai bien aimé avoir une recette de blogueurs mais ce sont les filles qui ont répondu présentes, nous n’en tirerons aucune conclusion !!!
Les blogueuses qui vont vous confier leur recettes ont en commun, le goût des choses simples, des ingrédients de qualité. Dans le monde « imaginé » d’après, nous allons tous manger local, peu ou pas traité, solidaire …. Espérons.
Cet article a plusieurs mains vous propose donc des recettes de cuisine saine et gourmande et très faciles. Comme quoi, manger bon n’est pas forcément synonyme de prise de tête.
Deux belles rencontres grâce aux réseaux sociaux vont suivre :
Et une dernière recette pour la fêter la fin du confinement :
Voici donc six recettes saines et gourmandes
pour maintenant et plus tard, bien sûr !
Sommaire
Le fondant au chocolat tout léger de Sandrine « amadera »
Il faut toujours tirer parti du meilleur dit-on, notamment lors de situations difficiles ! Et bien le temps qui m’a été offert pendant cette période de confinement m’a incité à cuisiner et notamment à faire le pas vers une cuisine à la vapeur douce.
Je suis Gérante de la société amadera depuis 2007 avec mon mari, une entreprise que nous avons créé en rentrant des Etats Unis. Nous représentons aujourd’hui en boutique et sur notre site de vente en ligne www.amadera.com une quinzaine de familles d’artisans mexicains dans le cadre d’une démarche équitable.
Notre produit phare est le brasero mexicain qui est utilisé pour réchauffer les soirées un peu fraiches et pour cuisiner. Le temps ne permettant pas une recette dans le brasero, j’ai choisi d’utiliser la vaisselle artisanale que nous proposons pour cuisiner une excellente recette de fondant au chocolat léger qui a toute sa place parmi les recettes de cuisine saine et gourmande de cet article !!
Pour 6 personnes environ, il vous faudra
Tout est fonction de votre appétit, bien sûr …
Nous sommes en confinement, et avons tendance à manger un peu plus que d’habitude… enfin chez nous ! J’ai donc choisi cette recette un peu plus légère et qui régalera nos papilles gourmandes. Pourquoi une recette à la vapeur douce ? C’est une technique de cuisson qui préserve toutes les qualités nutritives des aliments que vous cuisez. Légumes, viandes, gâteaux… Les aliments sont cuits dans le « Vitaliseur de Marion » mais vous pouvez tout à fait utiliser votre four.
Revenons à notre recette
Bon appétit et prenez soin de vous en attendant la fin du confinement.
Si vous voulez joindre Sandrine et Amadera voici les coordonnées : 225 Route de la Calade 13510 Eguilles – www.amadera.com – info@amadera.com – 04.42.21.15.81
Les tapas de dernière minute (apéritif-dinatoire) de Lycia « la Webeuse »
Merci Christine de m’avoir invitée… La thématique cuisine n’est pas une de mes spécialités, ni la cuisine en elle-même d’ailleurs… Pourtant, autrefois, j’étais une « bonne cuisinière » mais avec l’arrivée des enfants, de mes blogs et de mon activité freelance, je suis vite tombée dans une routine où seulement quelques recettes se succèdent semaines après semaines…Alors, ne pensez pas que je ne cuisine plus du tout, au contraire, je suis la reine de la récup’ dans le frigo et les placards, hi hi hi !
Ça m’arrive de ne pas avoir le temps de faire de vraies courses chez le boucher, le poissonnier et le primeur… Alors, je trouve toujours une solution et je dois dire que les tapas sont l’une de mes spécialités !
Et justement, en ce moment, ça nous a bien aidé.
Je vous propose alors de créer un apéritif dinatoire convivial avec les moyens du bord…
Recette de la tapenade
J’ai toujours une boite d’olives noires ou vertes dénoyautés sous la main (marque Tramier de préférence). Parfait, avec une gousse d’ail, un peu d’huile d’olive et une pincée de thym, vous ferez des miracles !
Ça va vous prendre 2 minutes, il suffit d’égoutter les olives, de les verser dans un bol haut (comme un verre doseur) avec environ 3 cuillères à soupe d’huile d’olive et les aromates (thym, marjolaine, etc.). Ensuite, vous broyez le tout avec un mixeur plongeant (une girafe), sinon, un blender peut faire le job !
Vous arrêtez de broyer lorsque la consistance de la tapenade vous convient. Pour ma part, je garde quelques morceaux mal broyés, les enfants sont contents lorsqu’ils tombent dessus 😉
Pour les croutons, un vieux morceau de pain fera l’affaire : je le découpe en fines tranches que j’arrose d’un filet d’huile d’olive et que je passe au grill quelques minutes.
Recette de l’anchoïade
Comme les olives, j’ai toujours, au fond du frigo, un bocal d’anchois. Cela aussi prend 5 minutes, pas plus!
Vous déposez les filets d’anchois dans une petite casserole avec une gousse d’ail écrasée ou hachée et l’huile contenue dans le bocal. Rien d’autre… Et vous laissez fondre à très petit feu. Avec un fouet, vous mélangez de temps en temps.
Pendant que les anchois fondent tranquillement, vous avez le temps de couper quelques carottes en bâtonnets. Si vous avez des champignons de Paris, du céleri, des tomates cerises et du fenouil et du chou-fleur, alors là, c’est royal 😉
Quand les anchois ont fini de fondre, fouettez énergiquement la préparation pour qu’elle devienne homogène.
Ensuite, vous pourrez disposer les légumes en couronne avec le bol d’anchoïade au milieu dans un joli plat.
Le trio de salade de pois chiche
Les bocaux de pois chiches peuvent aussi faire des merveilles lors de vos tapas-apéro ! les pois chiches sont excellents pour la santé et permettent de réaliser des recettes de cuisine saine et gourmande. Savez vous que leur jus peut remplacer les blancs d’œufs ? mais revenons à notre trio ….
Rincez bien les pois chiche et versez-les dans 3 petits bols.
Dans le premier, accommodez-les avec de la moutarde en grains, de la cebette fraîche et de l’huile d’olive (+ sel et poivre).
Dans le second, vous pourrez les aromatiser avec des épices : 4 épices, cumin… sans oublier l’huile d’olive, le sel et le poivre.
Dans le troisième, ajoutez un bonne cuillère à café de purée de piment et une cuillère d’huile d’olive ! Si vous n’avez pas de piment frais, vous pouvez utiliser du piment d’Espelette en poudre.
Ce trio de pois chiche fait toujours « bon effet » auprès des convives de dernière minute.
La planche de charcuterie et de fromages
Que serait un apéritif-tapas sans fromage et charcuterie ?
Bon, c’est pas toujours évident d’avoir cela sous la main… Mais cherchez bien dans le frigo… Je suis sûre que vous allez faire des miracles !
Tout est bon à prendre : de la bûche de chèvre, du petit basque, du saucisson, des saucisses de Strasbourg grillées et coupées en tronçons…
Mais si vous êtes bien achalandé : le magret fumé en tranche, le Parmigiano Reggiano en gros copeaux, quelques cubes de comté affiné 18 mois, le saucisson des montagnes et la chiffonnade de San Daniele seront certainement très appréciés !
Bref, l’idée est de proposer de la variété à picorer, c’est tellement convivial ! Le tout joliment disposé sur une planche de bois brut.
Recettes du gaspacho minute
Pour finir la préparation de ce tapas-apéro, je vous propose un gaspacho minute. Pour cela, vous aurez besoin, au minimum, de quelques tomates. Mais si vous avez du concombre, de l’ail et de l’oignon, ce sera parfait.
Épluchez tous vos légumes sans exception (même les tomates) et coupez-les grossièrement en dés.
Mettez le tout dans un blender avec du sel (ou sel de céleri) et de l’huile d’olive puis mixez longtemps ! Au plus vous mixez, au plus le gaspacho sera fin et onctueux.
Conservez-le au frais et servez-le glacé !
Vous pourrez décorer vos verres avec une feuille de persil, de basilic ou un bâtonnet de céleri.
La recette du Guacamole rapido !
C’est tellement vite fait !
Il suffit d’avoir sous la main 2 avocats bien mûrs. Vous les épluchez et les écrasez avec le jus d’un citron et de l’huile d’olive. Assaisonnez à votre convenance.
Idéalement, agrémentez votre guacamole avec une échalote ciselée et une tomate fraiche coupée en dés.
Servez-le avec des chips de maïs triangulaires.
Les brochettes de fruits frais
On a toujours quelques fruits frais qui trainent dans le panier. Il suffit de les éplucher et de les découper en gros tronçons. Ensuite, vous les embrochez sur un pic de bois.
Petite astuce : si vous n’avez pas de pics de bois, vous pouvez ramasser des branches de verveine ou de romarin. Vous enlevez les premières feuilles et vous gardez le petit bouquet au bout. Vous utilisez ces branches à la place des pics : le succès est assuré !
L’ananas et la fraise qui se prêtent bien à ce type de présentation. Mais vous pouvez faire cela avec les fruits que vous avez sous la main.
Attention aux fruits qui s’oxydent : la poire, la pomme… Il faudra penser à les arroser d’un filet de jus de citron pour qu’ils soient encore présentables lorsque vous les proposerez à vos convives.
Alors, ce tapas-apéro vous tente ?
Vous avez vu ? Pas besoin de grand-chose pour recevoir des invités en catastrophe ou pour une soirée confinée en famille !
Certes, vous devrez avoir quelques ingrédients sous la main. Mais vous remarquerez que le repas est plutôt équilibré !
Voici quelques idées supplémentaires pour parfaire votre apéritif-dinatoire :
Voilà, ce ne sont pas les idées qui manquent ! En avez-vous d’autres ?
La meilleure recette de crêpes de Béatrice « La Cobaye Ailée »
Voyageuse baroudeuse, j’étais en voyage en Amérique Latine, lorsque le Covid a frappé à nos portes. Je me trouve actuellement en quarantaine au Chili, chez les grands-parents de mon copain ! Comme nous tous, durant cette étrange période, j’ai beaucoup de temps à tuer. Je tiens notamment un blog de voyage, dans lequel je publie, entre autres, mes carnets de voyages, riches en rebondissements et autres péripéties !
Si cela vous intéresse, je vous invite à y jeter un œil sur mon blog : LA COBAYE AILEE
En outre, j’emploie ce temps à diverses activités, dont la cuisine ! Je m’attèle avec envie, à confectionner plats et autres pâtisseries, avec les ingrédients dont je dispose sur place. Je redécouvre et revisite la saveur de plats simples, faits à partir d’ingrédients basiques ! De plus, après six mois de voyage à l’étranger, retrouver des saveurs connues est d’autant plus agréable, et les grands-parents de mon copain m’ont fait part de leur envie de découvrir la gastronomie Française.
Ayant hérité, depuis plusieurs années, de quelques recettes de mon arrière-grand-mère, je leur ai fait goûter mes fameuses crêpes, qu’ils ont trouvé délicieuses, et m’ont redemandé à plusieurs reprises ! Cette recette a toujours eu un franc succès, que ce soit à l’école, aux anniversaires, ou même aux apéros entre amis ! Je l’ai donc choisie car elle me rappelle de doux souvenirs d’enfance, et pour son goût, dont je ne me lasserai jamais ! C’est pourquoi je vous la partage ici, sur le très chouette blog de Christine ! Bon appétit bien sûr !
Les quantités de cette recette sont adaptées à une trentaine voire quarantaine de crêpes. Vous pouvez les diviser par deux ou plus pour les réduire, afin de gagner du temps !
Les Ingrédients pour les fameuses crêpes
La recette inratable
Vous pouvez déguster vos crêpes natures, ou avec le condiment de votre choix (pâte à tartiner, confiture, sucre, caramel beurre salé, beurre de cacahuète, etc, où même des condiments salés pour les amateurs de sucré-salé !).
Recette du Ajvar, ma madeleine de Proust venue des Balkans par Sandrine « IDEOZ Voyagez curieux »
Deux mois de confinement ? Même pas peur ! Certes, être confinée est une épreuve physique, mentale, sociale et psychique dont on ne soupçonne pas forcément les effets sur la durée et l’avenir, surtout quand la contrainte s’installe et nous fige dans des habitudes peu réjouissantes.
Heureusement, le voyage ouvre des perspectives infinies, qui n’exigent pas toujours de bouger et de sortir de chez soi pour vivre des émotions culinaires, littéraires, cinématographiques, faire de nouvelles expériences et même revivre de belles rencontres.
Si j’ai compris une chose importante au cours des dernières années, c’est qu’il faut apprendre à s’adapter face aux situations sur lesquelles on n’a aucune maîtrise personnelle pour mieux les supporter et se dépasser ; ouvrir son imaginaire en voyageant autrement que par le déplacement physique, pour repousser les frontières et les murs dans sa tête.
En tant que baroudeuse curieuse, j’avais toujours des envies et projets d’évasion en tête, jusqu’à ce que des problèmes de vertiges, permanents pendant 4 ans, me figent chez moi avec une impression désespérante que ma vie ne serait plus jamais comme avant. Finalement, cette épreuve qui me renvoie toujours à la fragilité de l’équilibre et de l’instant, m’est utile aujourd’hui encore pour affronter le confinement imposé par l’épidémie du coronavirus et y trouver des motifs d’optimisme.
Quand j’étais dans un état de découragement voire de désespoir particulièrement fort, j’ai pioché pèle mêle dans mes souvenirs de voyage, me projetant alors vers tout ce qu’il me restait encore à découvrir.
Replonger par la pensée ou par les mots agissait momentanément mais ne me suffisait pas, d’autant que cela générait une forme de nostalgie. Je revoyais bien les paysages, ne serait-ce qu’en photos, des sites surtout les plus confidentiels que ma curiosité m’avait permis de dénicher, toutes ces personnes croisées sur ces routes empruntées parfois au hasard. J’avais écouté des conversations, des musiques, parcouru des livres pour prolonger le voyage. J’avais essayé de comprendre d’autres mondes et cultures que le mien, je me souvenais des chemins sur lesquels je m’étais engagée et perdue ; ces rencontres, ces bruits, ces images et tous ces petits riens, qui avaient façonné les plus précieux instants, car ils étaient justement uniques et m’appartenaient. Mais j’avais aussi besoin de revivre de manière plus concrète et de recréer des émotions à partager avec mes parents qui m’avaient accompagnée dans mes voyages. La cuisine est devenue la seule évidence pour voyager.
Outre l’attractivité intellectuelle liée aux histoires et aux cultures et traditions des peuples, les opportunités de voyager dans les Balkans et en Europe centrale et orientale ont nourri mes perceptions et enrichi mes influences, jusque dans la découverte de nouveaux aliments venus enrichir mon palais, alors que dans ma jeunesse, j’étais assez difficile et peu curieuse sur ce plan. Depuis, je me suis bien rattrapée. Bien que j’adore déguster les plats typiques, la cuisine familiale et les spécialités régionales me permettant de découvrir les habitudes culinaires dans les pays que j’ai traversés, je me contentais d’apprécier ce que d’autres avaient préparé pour moi. Je n’avais jamais osé passer derrière les fourneaux, malgré les invitations des livres de cuisine ramenés en souvenirs dans les bagages.
Je fermais les yeux. Soudain mes papilles retrouvèrent les saveurs du ajvar ; sa texture onctueuse et au rouge profond, ses arômes puissants. J’avais voyagé pendant toute mon enfance et mon adolescence, mais le ajvar s’était imposé comme mon premier et tenace souvenir. Probablement parce qu’il s’agissait de ma première découverte en Croatie peu après la guerre, durant ce qui était aussi le premier voyage dont je décidais seule de la destination.
Le ajvar, un condiment originaire des Balkans
Le ajvar est une purée de poivrons et d’aubergines originaire de Macédoine du nord, et devenu un trait d’union entre les divers pays d’ex-Yougoslavie. Les puristes (dont je suis) ne jurent que par le poivron et le paprika, je lui trouve plus de caractère qu’avec l’aubergine (ou avec la tomate et la carotte comme on peut en trouver dans diverses régions de Macédoine).
Ce condiment se sert froid ou chaud, sur du pain en apéritif, ou en accompagnement de plats de viandes ou de cevapcici, des rouleaux de viande hachée épicés apportés dans les Balkans par l’empire ottoman. Bien que les citadins et les restaurateurs se contentent des versions industrielles dans tous les supermarchés et épiceries, la tradition consiste à se retrouver entre la fin de l’été et le début de l’automne surtout en Serbie, dans l’Est de la Croatie, en Slavonie où le poivron et le paprika sont au cœur de la gastronomie locale, pour s’atteler à la préparation des réserves annuelles.
Les femmes se regroupent pendant des heures : elles épépinent, cuisent, mixent et mélangent des dizaines de kilos de poivrons et aubergines et transforment surtout la tâche laborieuse en moment de convivialité…
Le ajvar est un exercice de patience. Une sorte de philosophie qui reflète bien la cuisine des Balkans ; l’alliance de la simplicité et la lenteur pour que les arômes s’enrichissent.
En relisant une recette de ajvar serbe sur mon site Ideoz, le déclic est venu. Cela semblait si simple. Toutes les étapes étaient accessibles, même pour une néophyte. Il ne fallait que quelques ingrédients et j’avais tous les ustensiles sous la main.
Je me suis lancée un jour où les tangages étaient très pénibles et s’accompagnaient de fortes nausées et de sensations d’instabilité angoissantes. Peu à peu, les sensations n’ont pas disparu mais ont perdu de leur pouvoir de nuisance au point que j’ai fini par ne penser qu’au plaisir de déguster mon ajvar… Depuis, le ajvar est devenu mon refuge dès que je veux chasser des doutes ou un sentiment de tristesse…
Ingrédients et préparation
Il vous faudra :
Préparation du Ajvar serbe :
Conservez au réfrigérateur maximum 3 jours après la préparation. Vous pouvez le mettre au congélateur ou dans des bocaux stérilisés.La recette du ajvar est tellement simple que c’est la seule recette que je n’aie jamais ratée, alors que je me suis essayée depuis à d’autres avec moins de succès.
Dobar Tek et bon voyage dans les Balkans
Une confinée découvre la courgette : la recette de tagliatelles de courgettes citronnées d’Océane « blog feelgood »
Je ne suis pas une super cuisinière, je ne cuisine d’ailleurs que très peu à la maison, je ne suis pas en charge de cette tâche là ! Ce que j’aime surtout c’est la photographie, la créativité, l’imaginaire et les collections et écrire. Je tiens depuis peu le blog Océane Réginaud/BLOG FEELGOOD !
Cependant, le confinement m’a poussé à découvrir mes talents, dont la cuisine rapide et économique. La petite anecdote de cette recette est plutôt nulle à vrai dire… J’ai tout simplement découvert, un soir, que mon économe pouvait s’utiliser dans les deux sens, et donc accélérer la réalisation de tagliatelles de légumes, quand comme moi on ne sait pas les faire autrement ! C’est donc, comme vous l’avez compris, une recette de tagliatelles que je vous présente aujourd’hui, grâce à l’invitation de Christine, pour sa thématique de recettes de cuisine saine et gourmande.
Non, je n’étais pas une grande fan de courgettes avant cette recette, car je trouvais ce légume fade, sans goût, sans intérêt… Mais mon improvisation sur cette recette en a surpris plus d’un, donc je vous la partage. Cette recette est facile, rapide, économique, et gourmande. Elle est idéale pour finir les restes de légumes que l’on a dans le frigo et surtout s’adapte à tous les goûts !
Ingrédients et matériel
Pour des tagliatelles pour 2 personnes (en accompagnement) :
Préparation
Cuisson
L’avantage de cette recette, c’est qu’elle est gourmande, saine, et sans frustration ! Ce n’est pas une énième recette de légumes vapeurs sans goût (ce dont j’ai horreur). Il m’a fallu du temps pour apprécier les légumes à leur juste valeur, et pour apprécier leur dégustation.
Et une de plus, la recette préférée des Roulettes : les scones anglais
Ma petite contribution est une évocation de l’incontournable « afternoon tea », véritable institution britannique. C’est notre madeleine de Proust à nous : les scones nous rappellent notre fille qui habite à Londres.
Je classe, sans hésiter une seconde, cette recette des scones – avec une évidente mauvaise foi que j’assume – dans la catégorie des recettes de cuisine saine et gourmande. Tout dépend de la quantité de crème et de confiture que vous mettrez dessus !!
Le mot de la fin :
Merci à toutes ces blogueuses et éditorialistes pour le web de m’avoir fait confiance. Merci à Anna pour le dessin qui illustre l’article.
Et vous avez vous d’autres recettes de cuisine saine et gourmande qui ont égayés votre confinement ?
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Merci encore Christine pour cette superbe occasion ! J’ai hâte de tester les recettes de mes collaboratrices !
Hello
Merci pour ces recettes, surtout le fondant léger et l’ajvar.
Pour être aller en vacances en Yougoslavie puis en Croatie, j’ai un très bon souvenir de cette sauce que l’on trouvait dans tous les plats en accompagnement.
C’était un vrai régal : j’ai enfin la recette.
Merci
Merci chère Chrstine pour l’occasion donnée de partager nos impressions de blogueuses confinées et de découvrir ces recettes alléchantes, qui seront aussi très appréciées pour célébrer le déconfinement. En respectant bien sûr toujours les règles de distanciation pour que celui-ci soit une réussite. Mais justement la cuisine peut s’avérer un merveilleux moment de convivialité. Merci aux collaboratrices et à leurs idées inspirantes qui devraient me permettre d’allonger ma liste de recettes que je suis capable de faire moi-même 🙂
Super sympa, merci pour ce recueil, il y a de quoi se régaler !👍
Bonne prépatation Aurélie, tu me diras ….
Je suis très heureuse que la recette du ajvar t’ait permis de retourner en pensée en Croatie !
top cet article, vraiment agréable en présentation et de bonnes idées. Une très belle collaboration
virginie
Merci Virginie, ravie que cela t’ait plu !!
Muriel, ton commentaire me fait très plaisir. Ravie de savoir que cette recette t’a permis de revivre les souvenirs de ton séjour en Croatie…. Le ajvar est quelque chose de très simple qui va à l’essentiel.
c est vraiment bien je vais toutes les faire ces super recettes !merci beaucoup les filles et aussi à Christine de cette bonne idée
Merci Anna et aussi pour ta jolie illustration !
Merci Christine et merci à toutes ! Et bravo pour le travail d’intégration, c’est un sacré boulot ! Je vais essayer de me mettre aux fourneaux, je n’ai plus d’excuse maintenant 😉 à bientôt !
Merci Lycia, ce fut un plaisir de travailler avec vous toutes. A bientôt